Blogue créé dans le cadre du cours Communication et changements technologiques (COM-6032) de l'Université Laval.

vendredi 9 avril 2010

Blogue = X10, où X est une valeur en continuelle expansion.

Objet : Contrepied de http://patriciatadros.blogspot.com/ où Patricia Tadros présente le blogue et son impact sur l’environnement journalistique.

Billet «résumé»

D’entrée de jeu, lors de son introduction exposant le plan de sa dissertation, Patricia Tadros annonce ses couleurs d’une critique positive de la technologie. En introduction, elle tente de définir ce qu’est le blogue. Elle utilise presque exclusivement des définitions proposées par d’autres auteurs. On synthétise donc cet apport en définissant ladite technologie de la façon suivante : un petit site Web qui, utilisé et maintenu par une seule personne où sa mise à jour est régulière, fait l’objet de visites répétées d’internautes. (Barret, 1999) C’est une sorte de journal personnel (Reichardt et al., 2005) constitué de billets (Gloaguen, 2004) datés et pouvant contenir des liens et hyperliens, des photos, des vidéos et de l’audio. (Tadros, 2010) Patricia souligne également la particularité d’archivage que le blogue offre en étant soit mono ou multithématiques, personnel, associatif ou professionnel, d’un auteur unique ou collaboratif». (Gloaguen : 2004) Pour terminer sa partie introductive, elle dresse un bref historique de son évolution en terminant sur la notion de blogosphère sans, malheureusement, définir et expliquer plus spécifiquement ce que cela représente.


Pour établir un lien entre le blogue et la communication publique, elle mentionne brièvement le phénomène du journalisme citoyen («citizen journalism»). Elle traite également de son utilisation par la classe politique. L’opinion de l’auteur s’articule autour des multiples emprunts qu’elle fait d’auteurs qui ont écrit sur le sujet. Bien que les blogues ne soient pas d’égale pertinence, il est exact d’affirmer que leur importance «provient de l’effet qu’ils produisent, et des répercussions qu’ils ont sur le développement des enjeux publics». (Tadros, 2010)


L’exemple donné par Patricia, quant à l’utilisation du blogue en communication publique, reprend la notion de journalisme citoyen en l’accompagnant du journalisme traditionnel transporté sur la plate-forme qu’offre Internet. Elle explique que «les entreprises médiatiques n’ont d’ailleurs eu d’autres choix que de se lancer dans la construction de sites Web». (Tadros, 2010) Internet est une incontournable source d’informations pour un journaliste pour des fins d’enquête ou de reportage ou même pour un simple citoyen désirant satisfaire sa curiosité. Elle raconte que ce sont les blogues indépendants qui transforment et agissent directement sur le journalisme. Elle cite, par ailleurs, la chute de Dan Rather, lecteur de nouvelles, qui s’était inspiré d’informations trouvées sur un blogue pour une de ses nouvelles : provocation de sa fin précipitée.


Pour terminer son exposé, elle cherche à cerner l’impact que le blogue porte à la profession de journaliste. Dans un premier temps, elle endosse le point de vue du journaliste qui considère les blogues comme une menace à la fidélité de leur lectorat, et de la qualité de l’information. Dans un second temps, elle se contredit en endossant un second point de vue voulant que «pour le journaliste professionnel et les médias traditionnels, les blogues sont une façon d’apporter une valeur ajoutée et de fidéliser leur public». (Tadros, 2010) Cette ambivalence montre une nécessité de transformation et Patricia le souligne en citant Charron et de Bonville : «Les transformations que l’on croit observer dans le domaine de l’information sont des signes de l’émergence d’un nouveau paradigme journalistique, c’est-à-dire d’une nouvelle manière d’être journaliste, de penser et de pratiquer le journalisme». (1997, 52) Finalement, elle affirme que «le journalisme est en mutation, mais cela ne veut pas dire qu’il est en déclin pour autant». (Tadros, 2010)


Billet «désaccord & complément»


La définition atypique, formée de plusieurs sources, que Tadros propose est une façon intéressante de décrire le blogue. Cependant, elle ne transmet pas et ne s’encre pas sur la dimension fondamentale et importante du blogue, soit son côté communautaire à l’effet qu’il est un moyen interactif, participatif et rassembleur pour le grand public. Au Québec, il est important de se rattacher à la définition officielle du blogue offerte par l’Office québécois de la langue française qui décrit particulièrement bien, dans son ensemble, son concept:


« Site Web personnel tenu par un ou plusieurs blogueurs qui s’expriment librement et selon une certaine périodicité, sous la forme de billets ou d’articles, informatifs ou intimistes, datés, à la manière d’un journal de bord, signés et classés par ordre antéchronologique, parfois enrichis d’hyperliens, d’images ou de sons, et pouvant faire l’objet de commentaires laissés par les lecteurs » (2010: En ligne).


Patricia a effleuré la notion de la blogosphère en affirmant que le nombre de blogues avait rapidement augmenté. Cette «partie du cyberespace constituée par l'ensemble des blogues ou la communauté des blogueurs» (2010 : En ligne), compte au-delà de 130 millions de blogues. Ce qu’elle a oublié de dire c’est que la grande majorité des blogues a été abandonnée. Quenqua suggère, en s’appuyant sur une étude et les données du site Technorati, que plus de 95% des blogues sont présentement abandonnés, ce qui veut dire que seulement 7,4 millions sur les 133 millions avaient été mis à jour dans les 120 jours précédents l’étude (2009). Elle soutient également que «des sites comme Blogger, ou encore Metafilter, […], ont largement contribué à cette expansion fulgurante.» Ce qu’elle ne mentionne pas est d’abord l’apport des fils de syndication RSS au succès initial de cette nouvelle technologie. L’encyclopédie Britannica définit la technologie RSS comme a really simple syndication, anciennement RDF site summary ou rich site summary. Les fils RSS permettent un partage automatisé du contenu d’un site Web (2010: En ligne). Éric Boily, un collègue, ajoute que :


«La technologie des fils RSS permet alors aux blogues émergeant de diffuser automatiquement leur contenu à des abonnés ou à d’autres sites Web et constitue ainsi une des pièces maîtresses des blogues. Un lecteur de blogues peut donc s’abonner aux fils RSS de ses blogues favoris pour recevoir des alertes lorsque ceux-ci sont modifiés ou encore regrouper tous les blogues suivis sur une même page Web de type portail, par exemple google.com/ig, et ainsi avoir une vue d’ensemble de leurs changements. De la même façon, un lecteur peut s’abonner aux commentaires d’un article de blogue qu’il trouve particulièrement intéressant ou pour suivre les réactions à ses propres commentaires.» (2009 : En ligne)






Par ailleurs, il existe un second élément, plus étrange que le RSS, qui fait du blogue un succès. Le système «trackback», traduit par rétrolien, permet l’identification de l’origine des informations que les blogueurs se partagent. Simple, il leur permet de se référencer entre eux. «Lorsque [le blogueur] publie une info qui est inspirée ou extraite d’un autre blogue, [il] peut y ajouter un «trackback». [Celui-ci] envoie automatiquement une notification au site auquel [il] fait référence, ce qui permet à celui-ci de lister tous les sites qui reprennent ou commentent ses [billets].» (Citizenlab, 2005 :17) Ce moyen est efficace et gratifiant puisqu’il permet une circulation rapide d’informations entre plusieurs blogues.


En faisant le lien entre le blogue et la communication publique, Tadros affirme que l’histoire du blogue est courte. Considérant l’évolution rapide des TIC, l’aventure du blogue, qui dure depuis près de 15 ans, est pratiquement écrite et il est normal qu’elle soit «courte». Ce n’est pas une discrétion (utilisation du verbe «peut») que l’on a de «considérer le blogue comme faisant partie de la communication» (Tadros, 2010), mais une obligation. Aujourd’hui, les journalistes, les politiciens, les professeurs et le grand public en général ne peuvent faire abstraction de cette technologie dans leurs moyens de communiquer efficacement. Pour reprendre les mêmes termes utilisés de Demers et Lavigne, le blogue «participe au débat et aux enjeux publics». (2007) Il n’est pas qu’un simple participant passif et observateur, mais il en devient un élément déclencheur et provocateur de changement. Dans son analyse, il aurait été intéressant de développer soit l’aspect du journalisme citoyen ou soit l’aspect de l’utilisation par la classe politique. De cette façon, l’exploration aurait été plus poussée et il aurait été plus facile de constater qu’elles se portent en représentations extrêmement importantes de l’utilisation, de l’essor et de la popularité du blogue. Pour Patricia, avoir seulement gardé le journalisme citoyen aurait renforcé l’unicité de sa dissertation pour laquelle elle avait au départ annoncé sa saveur journalistique.


Billet «et vous public?»


Du point de vue de l’opinion publique, même de ceux qui ne font pas dans le blogue, celui-ci, quel qu’il soit, passionne, inquiète, dérange et interpelle. Il établit un dialogue avec soi-même ou encore avec les autres. Peu importe la tranche sociale, les blogues ne laissent personne indifférent. Tadros affirme que «tous les blogues ne sont pas pertinents» (2010) et perdent en intérêt. Le blogue donne une liberté qui «ne va pas sans risques et les blogues sans intérêt [sic], voire nauséabonds, vont se développer au même rythme que les publications de qualité.» (Pain, 2005 : 5) Cependant, cette liberté en est une d’expression. L’expression se couche sur les lignes cryptées, comme dans un journal personnel en ligne. Le blogue donne la liberté d’être soi-même. Pour être intéressé et intéressant, le blogue n’a qu’à se rapprocher de la représentation de l’auteur, transparent, regroupant passions et états d’âme. L’opinion publique est séduite par les meilleurs blogues qui «sont écrits par des passionnés. Il n’y a pas de secret, ils approfondissent leur sujet et le connaissent à fond. (Le Meur, 2006 : 69)


Le grand public aime sa simplicité, son interface facile d’emploi et la façon particulièrement novice de gérer le contenu publié. Le blogue constitue donc un lieu d’expression pratique où le vocabulaire employé est vulgarisé, avec une consonance ressemblant à celle du langage parlé. «On peut tout simplement vouloir bloguer, comme on parle en général, au bénéfice de gens partageant des valeurs communes et des intérêts communs.» (Lapointe, 2007 : 17) D’un simple clic, il désinhibe l’expression d’internautes qui n’auraient peut-être jamais osé se lancer et permettent de mettre au jour de nouveaux talents, des réflexions originales et des plumes acérées. (Le Meur, 2006 : 7) En se faisant plaisir ou en canalisant sa frustration et son insatisfaction, le public apprécie le fait de pouvoir laisser la trace de pensées et de moments inédits, mettre de l’ordre dans ses idées et pouvoir les retrouver facilement à l’aide de l’archivage. Quand le citoyen commence à publier son blogue, il l’envoie d’abord à ses proches pour qu’ils le lisent et qu’ils commentent. De cette façon, de fil en aiguille, la communauté s’agrandit à travers la multiplication des sources. «La raison d’être [du blogue] n’est pas ce qu’il contient, mais ce qu’il représente : un moyen de donner corps à ma personne dans cet espace virtuel qui se surimpose au réel.» On se manifeste, se sent écouter, se connaît un peu plus; on approfondit notre connaissance de l’être humain en ayant accès à l’information. De cette façon, le blogue fait de nous de meilleures personnes. (Lapointe, 2007 : 34-36)


De plus, «les blogues offrent bien plus que de l’information journalistique. [En ressentant une frustration vis-à-vis des journalistes désintéressés de leur public, les blogues lui] offrent, une possibilité d’interactions qui n’avaient jamais été aussi complètes dans les médias traditionnels. Les journaux par exemple ne publient en général que quelques lettres d’opinion de ses lecteurs tandis qu’un blogue a l’avantage de laisser libre recours aux commentaires et opinions des visiteurs.» (Boily, 2009 : En ligne) En partageant ses expériences avec les autres et ce, sans limites, le blogueur sera corrigé par ses propres lecteurs. De cette façon, il devra synthétiser et se discipliner afin d’être exact pour ainsi réfléchir adéquatement avec les autres. L’utilisation du blogue aura tendance à créer des thématiques et construire diverses communautés sur des territoires connus où se regroupent des internautes aux intérêts et passe-temps communs. «Il est un mini-réseau social à l’intérieur du méga-réseau social virtuel.» (Lapointe, 2007 : 6) Pour le grand public, le blogue n’est pas seulement une fontaine de nouvelles et d’actualités. C’est également une plate-forme où on s’y engage pour des grands débats de société, qu’ils soient sociaux, culturels, économiques ou politiques. Cet engagement sera l’engouement nécessaire à la formation d’un sentiment d’appartenance où l’identité sociale d’une nation, d’un groupe spécifique ou encore d’une personne se trouvera renforcée et même valorisée par les écrits et les échanges retrouvés sur un blogue. Aujourd’hui, on peut donc affirmer que le blogue rejoint [presque] tout le monde, ce qui rappelle la pensée de MacLuhan selon laquelle «le monde est un village planétaire» avide de nouvelles.


Billet «concret»


Selon Benoit Desavoye, le «besoin de pouvoir diffuser ses idées et d’échanger avec d’autres internautes est une attente légitime […].» (2005 : 21-22) Choisir le blogue, en tant qu’objet typiquement socio-technique, permet de se pencher sur une communication publique qui se construit selon le domaine. (Klein, 2007 : 11) À cet effet, la communication publique est «un champ d’étude de la communication de masse dans ses aspects théoriques aussi bien que pratiques et en considérant son impact sur les débats et les enjeux sociaux» (Cossette, 2006 :61). Tout individu qui s’engage dans une activité de blogging se pose assurément plusieurs questions qui amènent les notions de théorisation et d’éducation. L’interactivité qu’offre le blogue est une bonne façon de franchir ses limites et de permettre «l’éclatement des usages à la complémentarité pédagogique.» (Matagne al., 2007 : 125) Dans le cadre d’un cours universitaire, le blogue met en contact l’enseignant à ses étudiants, et les étudiants entre eux. Le cours Communication et changements technologiques (COM-6032) de l'Université Laval en est un bon exemple. La principale fonction pédagogique est centrée sur l’affichage des travaux obligatoires du cours, une sorte d’approfondissement de la matière à voir. Le blogue de l’enseignant (http://changementsexemple.blogspot.com/) est un prolongement virtuel de la classe. Il permet au professeur de publier les blogues de ses étudiants, d’y ajouter des commentaires, mais aussi d’assurer un suivi des travaux en cours ou de rappeler des informations transmises. (Matagne al., 2007 : 136) Chaque semaine, divisée par thèmes, il encourage l’ajout de la réponse à la question hebdomadaire, ou d’informations supplémentaires au bénéfice de tous les inscrits au cours, mais également des internautes et blogueurs externes qui seraient intéressés par leurs points de vue. Le blogue, comme espace personnel de l’étudiant, incite la notion d’extimité qui consiste à mettre en scène des contenus plus intimes et personnels, mais combien enrichissants. (Klein, 2007 : 214) Il pourra ainsi devenir un espace public de débats et d’apprentissage. Il peut également servir de carnet de bord, en offrant un dialogue avec ses collègues en apprentissage; de rapport puisqu’il fait appel au témoignage d’opinion et de réflexions critiques ou encore de portfolio, comme expose l’image suivante d’œuvres réalisées par un ami et disponibles sur la toile:


I got a great news this week! ”The Belles Seasons” series has been selected by the judging panel of the Applied Arts Illustration awards! These pieces will be included in theJune/July 2010 Photography & Illustration Awards Annual Applied Arts Magazine! Yay!


Billet «conclusion ouverte»


Les nouvelles technologies en général, les blogues en particulier, ont engendré de nombreux changements dans la nature de l’expression publique. C’est ainsi qu’on a vu apparaître, pour contrôler l’information, une certaine censure du Web de la part de l’auteur ou encore de l’éditeur du blogue. À certains endroits, on a également réglementé la pratique à partir de codes d’éthiques et de filets de sûreté qui limitent les abus et sanctionnent les fautifs. Est-ce suffisant? Envahissant? Plusieurs internautes, dont Markus Beckedahl, se portent en défenseur des droits de l’homme et de la liberté d’expression que permet habituellement un blogue. Son blogue, Netzpolitik.org, est un moyen de diffusion des nouvelles «portant sur les droits de l’homme, le monde du logiciel libre, l’accès à la connaissance, la société de l’information et les droits d’auteur.» (2005 : 38) Dans plusieurs pays, et même ici au Québec, les droits d’auteurs et numériques ont des conséquences sur la liberté d’expression publique. Peu de gens comprennent l’importance de la situation. Beckedahl et d’autres sensibilisent les internautes à ces problèmes afin qu’ils puissent se défendre. «Les initiatives qui visent à accroître la sécurité des populations s’accompagnent d’un resserrement abusif de la surveillance. [Même si l’éthique est une question d’honneur, et que ses codes donnent confiance à l’opinion publique sur l’authenticité de l’information,] le grand public ne se rend malheureusement pas compte que sa liberté est menacée.» (Ibid.) Pourquoi limiter arbitrairement son utilisation lorsqu’il a été créé pour laisser libre ses opinions qui choqueront et entreront en contradiction avec d’autres? Les commentaires jugés offensants, hors sujet ou extrêmement à côté de la traque ne sont-ils pas là pour lancer les débats sur les grands enjeux?












2730 mots

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